JE M'ABANDONNE..

A LEURS DOMINATIONS

Un roman érotique MFM (une femme avec deux hommes).
Tout en tension, initiation lente et désir grandissant.
Une transformation qu’elle ne soupçonnait pas.

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AVIS DE NOS LECTEURS

Je n’étais pas prête. Et j’ai adoré ça.Ce roman m’a fait perdre la notion du temps. Lenteur parfaite, tension brûlante, dialogues glaçants et terriblement excitants…Ce n’est pas une simple histoire : c’est une descente, un glissement exquis où chaque détail sensoriel compte. Je ne savais pas à quoi m’attendre. Maintenant je sais. Vivement la suite de la série.

Une fois commencé, on ne décroche plus.Très bien écrit..dans les descriptions , les ressentis…progressif jusqu’au très spicy spicy !! Je recommande.

À lire si vous aimez perdre le contrôle… en douceur.Ce n’est pas une romance. Ce n’est pas du sexe facile. C’est un labyrinthe. Chaque chapitre franchit une limite, chaque scène prend son temps, chaque mot vous touche là où ça fait mal et du bien. L’écriture est sublime, maîtrisée, sensuelle. Et elle m’a emmenée exactement là où je n’osais pas aller seule.

Poétique, dérangeant, sensuel. Et diablement addictif.Ce livre ne s’offre pas d’un coup. Il se mérite. Et c’est ce que j’ai préféré. Il joue avec nos nerfs, nos désirs, notre morale. Il brouille les lignes entre ce qui excite, ce qui dérange, et ce qu’on finit par désirer. L’écriture est soyeuse, presque hypnotique. C’est le genre de roman qu’on ne lit pas sous la couette… mais en retenant son souffle.

Allez c'est cadeau..quelques extraits juste pour toi

Attention tu risques de devenir addicte

[...]
Elle ne savait pas combien de temps s’était écoulé.
Peut-être une minute. Peut-être dix. Il n’y avait pas de repère ici. Pas d’horloge. Pas de fenêtre. Rien que ce cercle au sol, et sa propre respiration.
Et cette chaleur entre ses jambes, qui montait, qui tournait, qui ne passait pas.
Ses bras restaient dans son dos, mais ses doigts tremblaient légèrement. Ses cuisses cherchaient à se refermer, comme pour contenir ce feu qui s’installait là, contre sa fente, chaque fois qu’elle inspirait trop fort.
Elle avait encore la marque du tissu de sa robe sur les hanches. Mais ce n’était plus le tissu qui la gênait. C’était l’absence.
Elle sentait l’air, contre ses seins, sous ses fesses, entre les lèvres de sa vulve.
Et ce regard. Inconnu. Invisible. Mais présent.
Son souffle s’accéléra. Sans raison apparente. Juste cette impression de ne plus tenir dans sa propre peau.
Et soudain, une voix.
Grave. Calme. Froide.
— Tu mouilles déjà, Elena ?
Elle sursauta. La voix venait de l’obscurité. Elle ne la reconnaissait pas. Pas Laz. Pas le même ton.
C’était Nolan. Mais elle ne le voyait pas.
Elle ne répondit pas.
Silence.
Puis encore lui :
— Tu es debout, nue, exposée. Tu as obéi. Tu es excitée. Et pourtant… tu crois encore pouvoir cacher ce que tu es.
Il laissa un silence plus long.
— Croise les jambes.
Elle obéit.
Le frottement de ses cuisses fit remonter un frisson brutal. Comme une onde chaude, remontant jusqu’à sa gorge. Elle ferma les yeux une seconde. Trop fort.
Trop… vrai.
— Tu sens ? Tu sens ce que ton corps te hurle ? Il est déjà à nous.
Et elle comprit.
Il ne voulait pas qu’elle jouisse. Pas encore.
Il voulait qu’elle comprenne.
Qu’ici, le plaisir n’était pas un but. C’était une arme. Un levier. Un moyen de la déshabiller de l’intérieur.
Elle ne dit rien.
Mais ses jambes fléchirent à peine.
Et son sexe… pleurait de chaleur.
Elle voulait bouger. Ses pieds la brûlaient. Ses bras, toujours croisés dans son dos, devenaient lourds. Mais elle ne bougeait pas.
Parce que la voix était encore là.
Pas continue. Pas insistante. Mais présente.
— Tu mouilles sans qu’on te touche. Tu trembles sans qu’on t’ordonne de jouir.
Un silence. Puis, plus bas :
— Tu es prête.
Elle ouvrit les yeux. Elle ne s’était pas rendu compte qu’elle les avait fermés.
Quelque chose vibrait en elle. Un frisson. Non, une attente. Comme si le moindre mot pouvait la faire jouir.
La voix restait là, autour d’elle. À travers la vitre. Invisible. Mais plus présente que jamais.
— Croise les jambes, avait-il dit.
Elle avait obéi. Et depuis… rien. Juste ce silence. Juste cette chaleur liquide entre ses cuisses, qui montait.
Puis la voix revint. Légère. Férocement calme.
— Tu veux jouir, Elena ?
Elle ferma les yeux. Son ventre se contracta aussitôt.
Elle ne répondit pas. Mais son corps, lui, avait déjà dit oui.
— Tu vas te toucher maintenant, Elena. Mais ce n’est pas toi qui décides comment.
Elle ferma les yeux une seconde. Le simple fait d’entendre ces mots avait tendu son ventre. Sa fente était déjà moite, battante, comme si la voix seule avait ouvert un robinet en elle.
Elle inspira.
Puis elle obéit.
Sa main glissa lentement sur son bas-ventre, remonta légèrement avant de redescendre entre ses cuisses. Ses doigts rencontrèrent sa chair : chaude, tremblante, pulsante.
...
...

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..ce n'est que le début...